Conclusion

Il ressort de notre réflexion que le travail reste une activité indispensable de survie pour l'homme. Avec le progrès technologique marqué par l'accroissement de la production et de la productivité, le travail semble perdre de sa valeur. Ainsi, l'homme est devenu beaucoup plus esclave du travail qui pourtant devrait être une source de libération et d'épanouissement. Dans la perspective de voir les conditions d'existence de tous les hommes s'améliorer, une juste répartition des biens ou une saine gestion des richesses pourraient favoriser leur développement et mieux leur épanouissement. C'est bien la question autour de laquelle les deux grands systèmes économiques, à savoir le capitalisme dit libéralisme économique et le socialisme marxiste vont s'articuler. Face donc aux conséquences sociales qu'engendre la perte d'emploi, il importe de redonner au travail sa valeur première.